Bamako argentique : un polar africain vibrant et poignant
Bamako argentique ? Ne pas faire la photo de trop !
- Une intrigue captivante
- Des personnages complexes et attachants
- Une peinture sociale et politique sans concession
- Un regard tendre et humain sur l'Afrique
- Un hommage à la culture malienne
Un voyage visuel unique
- Des illustrations à la gouache d'une grande beauté
- Couleurs vives et expressives
- Technique précise et détaillée en couleurs directes
- Un univers graphique authentique par un artiste reconnu
Une nouvelle édition à découvrir
- Format grand format pour une meilleure immersion
- Nouvelle couverture et mise en page
- Préface inédite de l'auteur
- Bibliographie en fin d'ouvrage
ARNAUD FLOC’H
Né en 1961 à Landivisiau, Arnaud Floc’h est un amoureux et un connaisseur de l’Afrique. Il y vivra de 1962 à 1976 (Cameroun, Niger) puis tous les étés, au Mali de 1997 à 2005. C’est en 1984 qu’il commence sa carrière chez Larousse, puis avec une dizaine de collaborations BD sous forme d’histoires courtes et deux albums chez Glénat et chez Trihan. En 1988, il crée son studio publicitaire et en 1989, il s’installe à Montargis. En 1998, des amis dessinateurs de BD le poussent à revenir vers l’illustration.
À partir de ce moment, sa carrière en tant que dessinateur et scénariste est lancée avec des oneshot et des séries reconnues par la critique et le public : Mi brijnoï ma krassov (1998), La disparition du moindre pli (2001), Les , 3 petits cochons ( 2001/2002), Plutôt mûrir (2004),Xavier, un film entre nous (2005),Les Épines du Christ (2006 à 2007), Le Poisson-chat (dessin : T. Murat – 2008),
La compagnie des cochons (2009), La vallée des papillons (2011),Les otages (2012), Emmett Till (2015), Le carrefour (dessin : G. Charlet – 2016), Monument Amour (texte D. Quella-Guyot –2017/18), Mojo hand (2019), Soul Bocks (2020), Dieu n’habite pas la Havane (2021), S’en fout la mort (2022).
Parmi les projets collectifs, il a participé en 2014 à Jukebox et en 2016 à la revue Brestoise Casier[s]. Il travaille en ce moment en solo sur Mary Fields, pour Dupuis Aire Libre, sur Lily Renée (Janis Do au dessin) pour Hachette, et sur l’adaptation, avec Théa Rojzman, de Bakhita, le roman de Véronique Olmi, pour Albin Michel.